Pour transformer le monde, il faut d’abord changer notre façon de le penser.
Nous ne sommes pas seulement des bâtisseuses. Nous sommes aussi des chercheuses d’idées, des déclencheuses de récits, des passeuses de savoirs.
Nous pensons l’urbanisme depuis les corps. Depuis le soin. Depuis les liens. Nous interrogeons les normes, nous écoutons les voix minoritaires, nous défendons l’invisible. Et nous croyons, profondément, que les idées changent le réel.